mercredi 30 janvier 2013

Minute !

Et hop ! Une nouvelle réalisation ! Comme promis, voici le haut Minute dans de la viscose bariolée, fine et très légère achetée chez Mondial Tissus.



Comme on le lit partout sur le Net et comme l'indique le nom du patron, c'est une réalisation simplissime à faire et qui prend peu de temps. Parfaite pour les débutantes ! Deux petites choses cependant : j'ai découpé le patron en taille M, mais il me semble un peu juste, même en ayant rajouté la marge d'1cm. Je pense que je l'élargirai pour les prochaines fois. De même, je le trouve un peu court et j'allongerai les suivants. Enfin, il est indiqué 1m de biais, mais comme j'en ai mis également autour des manches, il faut plutôt compter 1m50 (parce que se retrouver un samedi soir sans avoir assez de biais pour finir une manche, c'est trop frustrant !).

Ce que j'ai trouvé facile :
- assembler les pièces et les coudre.
- poser du biais. C'était la première fois et les indications données dans le patron sont très claires (bon, ok, même si j'ai dû m'y reprendre à deux fois car je n'avais pas fait endroit contre endroit...). 

Là où j'ai galéré :
- le plus fastidieux (ça m'a pris plusieurs jours tant je rechignais à la tâche !), c'est d'imprimer, de découper, d'assembler les pièces du patron puis de redécouper à la taille voulue. Prévoyez de l'encre (8 pages pour le devant, autant pour le derrière) et du temps.

Moralité :
Je vais en faire plein ! Il y a notamment une version manche longue que j'ai bien envie d'essayer. Je ne suis pas totalement satisfaite de celui-ci car je le trouve un poil petit et court, mais il est quand même très agréable à porter. 
La deuxième grosse découverte, c'est l'ajout de biais. Je trouve que ça finit parfaitement une pièce et du coup j'ai envie d'en poser partout !

Si le modèle vous plaît et que vous ne l'avez pas encore, c'est chez Aime comme Marie que vous pouvez l'acheter ! ICI (pour ceux qui utilisent Safari, changez de navigateur pour l'achat sinon ça ne marchera pas).

mardi 29 janvier 2013

Sous la neige

Les derniers jours ont été à la neige un peu partout en France, mais je vis dans une région qui en a été préservée... A part une journée où deux belles chutes de flocons se sont succédées : rien. C'est dommage, parce que j'aime beaucoup photographier la neige !
Je contribue donc au blanc manteau avec quelques-unes de mes photos de neige.







dimanche 27 janvier 2013

samedi 26 janvier 2013

Les chansons de toile au Moyen Âge

J'ai découvert les chansons de toile médiévales au moment de la naissance de ce blog, par deux fois : la première dans le cadre de mon travail, la seconde alors que j'essayais de trouver un titre pour mon blog. À ces deux occasions, un texte est revenu : Belle Eglantine (Bele Aiglentine en langue médiévale). C'est une chanson anonyme du XIIIème siècle qui appartient au courant lyrique de la littérature médiévale et qui rejoint donc ce que l'on a appelé les "chansons de toile". Cette dénomination vient du sujet : ces chansons évoquent des dames qui tout en cousant (ou en lisant parfois, comme dans La belle Doette) chantent leurs amours. Les textes ont une forte unité narrative puisque l'histoire qui y est racontée a une vraie progression.
Ce qui m'a séduite, c'est le lien opéré entre couture (ou lecture) et rêverie, car c'est ainsi que je perçois ces deux passetemps solitaires : un moment hors du temps, hors du monde, où l'on est à la fois absorbé par l'activité en question, mais où l'esprit vagabonde ailleurs ; un refuge propice à l'éveil de l'imagination. Et ma pratique de la photographie rejoint très souvent cette conception. 

Tableau sans doute préraphaélite dont je ne suis cependant pas arrivée à identifier le peintre...


Voici donc le texte de Belle Eglantine, dans la traduction de Jean Dufournet (je vous épargne la version médiévale !). Il s'agit cependant d'une chanson que l'on dit corrompue, c'est-à-dire que certains vers sont manquants, ce qui ne rend pas la cohérence de la forme fixe utilisée.


Belle Églantine

Dans une chambre somptueuse, Belle Églantine
près de sa dame cousait une chemise.
À son insu Amour l'a surprise.
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.

Près de sa dame, elle coud et taille,
mais moins habile qu'à l'accoutumée,
distraite, elle se pique le doigt.
(Tout aussitôt sa mère l'aperçoit.)
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« Belle Églantine, ôtez votre surcot,
je veux dessous voir votre joli corps.
— Non, Madame, le froid apporte la mort. »
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« Belle Églantine, quel mal donc vous mine,
qui vous fait pâlir et épaissir ?
— Ma chère dame, je ne puis plus le nier. »
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« Oui, j'ai aimé un séduisant guerrier,
le preux Henri qui est tant estimé.
Si vous m'aimez, de moi ayez pitié. »
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« Belle Églantine, vous épousera-t-il ?
— Je ne le sais, jamais ne l'ai requis.
— Belle Églantine, allez-vous-en d'ici. »
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« De ma part demandez à Henri
s'il veut vous prendre ou vous laisser ainsi.
— Bien volontiers, Madame. », a-t-elle dit.
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


Belle Églantine a quitté son logis,
tout droit est venue à l'hôtel d'Henri.
Le comte Henri était couché au lit.
Écoutez bien ce que la belle a dit.
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


« Seigneur Henri, dormez-vous ? Veillez-vous ?
Églantine au visage clair vous demande
si vous voulez la prendre pour épouse.
— Oui, répond-il. Quelle joie d'être à vous ! »
Écoutez bien
ce que fit la belle Églantine.


En l'entendant, Henri fut très joyeux.
Il fit monter jusqu'à vingt chevaliers,
en son pays il emmena la belle
dont il fit sa femme et puissante comtesse.
Qu'il est heureux
le comte Henri d'avoir belle Églantine !

jeudi 24 janvier 2013

En projet : Minute !

C'est en me baladant de blogs en blogs que j'ai découvert les patrons de Aime comme Marie, et en particulier deux petits hauts qui ont l'air tout simples : Minute et Must-Have. Je les ai commandés (4€ chacun en téléchargement) et je vais me lancer dans la réalisation du Minute, qui me semble le plus facile des deux. 

A quoi ça ressemble un Minute ?

Dans sa version unie chez Aime comme Marie :



Dans sa version à empiècements chez Mrs L :



Je vais faire celui sans empiècements, dans ce tissu :


Comme ce n'est pas du jersey mais de la viscose pas vraiment extensible, possible que je doive rajouter une fermeture éclair (youpi...). 

J'espère pouvoir vous montrer les photos de ce nouveau projet très vite !



lundi 21 janvier 2013

Comme un fumeur sans cigarettes

Quand j'ai eu terminé la jupe cercle, un grand vide s'est fait en moi. J'étais désoeuvrée. Pire : je n'avais plus de tissus (enfin, rien de très exaltant ou en assez grande quantité). Je suis allée au marché : rien. Il faisait trop froid, tous les marchands n'étaient pas là (en même temps, il y en a très peu qui vendent du tissu là où j'habite...). Je suis allée chez Eurodif : rien pour l'habillement. Enfin, rien qui me plaisait vraiment et qui soit accessible. Je suis allée dans une mercerie : il n'y avait que du coton, cher, et dont les imprimés ne me plaisaient pas.
Je suis donc rentrée bredouille. Au récit de ma quête infructueuse, M. Mon Amour m'a fait remarquer que j'étais comme un fumeur sans cigarettes, un dimanche soir dans une ville inconnue (et petite)(et en plus un fumeur qui n'aurait pas le permis pour aller voir ailleurs)(sauf que j'ai le permis mais la flemme et surtout pas trop le temps de vadrouiller). C'est pas faux. Pourtant, je n'aurais pas vraiment eu le temps de coudre quoi que ce soit (quoique...), mais j'avais BESOIN de nouveaux tissus. J'avais bien commandé des chutes de cuir sur ebay, mais il fallait attendre qu'elles arrivent et quand bien même, ce n'est pas Byzance, je ne serais pas allée bien loin.
Résultat, quelques jours après, après une nouvelle vaine tentative dans un autre marché, j'ai filé à Mondial Tissus à quelques kilomètres de là, mais dans une zone commerciale immense qui décourage d'y entrer rien qu'en pensant devant. 
En poussant la porte, je me suis crue dans Project Runway (best émission ever !) quand les candidats peuvent aller dévaliser Mood à New York. Et trouver un tissu qui plaît c'est comme cueillir des champignons : au début, on ne voit rien, puis dès qu'on commence à bien chercher et à en repérer un, on en trouve plein ! Je ne pouvais pas faire trop de folies car j'étais financièrement limitée et qu'à part un Minute de chez Aime comme Marie (je vous en reparle très vite !), je n'avais pas d'idée précise. Enfin, au début. Parce qu'au fur et à mesure, j'ai imaginé plein de choses. Au final, j'ai été plutôt sage : la seule folie fut 1m d'un sergé fluide noir sublime à 14€ le m... Pour le reste, ce n'est que partie remise, mais j'aimerais aller faire un tour la prochaine au marché de la Plaine à Marseille, qui a l'air de receler de nombreux trésors à prix ridicules.

Mes trouvailles


Un petit bout de simili cuir pour faire le bas d'une jupe.
Un morceau de viscose fuchsia à motifs, qui m'a rappelé Christian Lacroix, pour faire un haut.
Un morceau de sergé fluide noir pour faire la jupe au simili.
Un morceau d'un tissu un peu épais, vert avec des motifs style pelage, pour un projet de pochette encore en maturation.

Edit !
Entre la rédaction de cet article et sa publication, j'ai reçu les petits coupons de cuir. C'est petit, c'est plutôt du cuir d'ameublement, mais je trouverai toujours quoi en faire ! 


dimanche 20 janvier 2013

Les jolies choses : emballé, c'est pesé !

Cette semaine, des pochettes, des boîtes, des enveloppes : des jolies choses pour y mettre d'autres jolies choses !

Des enveloppes en feutrine sur Clever Charlotte 
(qui au passage nous rappelle que la Saint-Valentin peut être la fête de tous les gens qu'on aime et pas seulement des amoureux - ce que j'avais d'ailleurs pu expérimenter au Canada)



Des sachets à thé et leur boîte chez Ça bouffe un doberman



Une pochette pour smartphone chez Morning by Foley



Un DIY pêché sur le Pinterest de Lalouandco pour faire des petites boîtes en feutrine


vendredi 18 janvier 2013

Twiggy hair

Il s'agit de ma première vraie série, construite, cohérente, avec recherche de modèles et joli texte explicatif. Je l'ai réalisée pour l'exposition de fin d'année du club photo dont je faisais partie. Il y avait 10 tirages, encadrés, que j'ai toujours et qui sont accrochés dans mon appartement. C'est une série que j'aimerais continuer, mais je n'y pense jamais... 




Voici le texte que j'avais écrit à l'occasion de l'exposition :


Les photos exposées ne sont pas celles qui étaient initialement prévues. C'est une photo de Richard Avedon qui a été le déclencheur de la série présentée.
Une photo de Twiggy, mannequin phare des années 60.

Twiggy par Richard Avedon

Le titre est Twiggy, suivi de la mention "hair by Ara Gallant. Paris Studio. January 1968".
1968-2008 : 40 ans entre cette photo et les miennes, toutes réalisées en juin 2008. Une série qui pourrait apparaître comme un hommage, au moment même où le travail d'Avedon fait l'objet d'une rétrospective au jeu de Paume à Paris.

Mais il ne s'agit pas d'hommage. Juste d'une inspiration. D'une imitation, au sens que les écrivains de la Renaissance donnaient à ce mot. Imiter : se nourrir d'un modèle, le digérer et le recréer. Trouver en lui ce qui fait écho en nous. Se le ré-approprier dans une perspective personnelle. D'où le raccourci du titre de la série en "Twiggy.hair".

La photo d'Avedon me donnait l'occasion de toucher à un genre avec lequel je n'étais pas à l'aise : le portrait. Elle m'a donné l'impulsion qui me manquait et qui me permettait de passer du portrait banal au portrait, disons, plus artistique.

Les modèles font partie de mon entourage. D'autres sont venues à moi par le biais d'annonces sur des forums que je fréquente. Les conditions de lumière, les lieux sont aléatoires, soumis aux disponibilités et à l'environnement de chacune. Toutes se sont prêtées au jeu. Ont prêté leur visage - et leur chevelure - au jeu. Baisser la tête, la relever : photo.

Visages saisis dans un instant d'abandon. Un moment de flottement. Le visage connu devient inconnu. La femme devient pieuvre, méduse, lionne, tourbillon, spirale. Une autre, un ailleurs sur l'espace du visage. Autant de mondes, d'intériorités soudainement extériorisées que j'ai tentés de saisir.






#21 de Fauteuses de trouble

Comme je le disais rapidement dans mon premier article, je collabore activement à Fauteuses de trouble, magazine féminin en ligne, que j'ai co-fondé et dont je suis la rédactrice en chef. Voilà plus de deux ans que nous faisons notre petit trou sur le net et le #21 vient de sortir, le 15, puisque les numéros paraissent le 15 de chaque mois avec des nouveautés ajoutées au fil du mois.

Ce mois-ci, le dossier thématique est consacré aux héros et aux héroïnes !


Avec : du grand banditisme, Wonder Woman, David Bowie, du cunilingus, un pompier...
Pour découvrir les articles thématiques, c'est ICI.
Et pour le sommaire général : LA.
Et pour l'édito-manifesto : Par LA.

On a une rubrique consacrée à la mode, aux jolies choses, aux bijoux où il y a notamment quelques tutos (L'Armoire à...), mais elle n'est pas très alimentée faute de rédactrice régulière... A bon entendeur...

Bonne lecture !

jeudi 17 janvier 2013

La jupe-cercle !

Enfin !

Et j'en ai chié, un peu, quand même, mais je suis fière de moi ! Malgré les tutos, les patrons, les livres, le stage que j'ai fait cet été, je me suis battue contre plein de petits problèmes : est-ce que je monte la ceinture avant la fermeture éclair ? Merde, comment on fait, déjà, pour coudre une fermeture éclair ? Zut, c'est trop grand à la taille... Re-zut, la ceinture est trop courte pour faire patte pour le bouton... Comment vais-je réussir à coudre l'ourlet puisque ce n'est pas droit mais arrondi ? Putain de tissu qui s'accroche et s'effiloche !
Au final, j'ai beaucoup fait à la wanéguène, au pif et à l'instinct. Elle est pleine de défaut (la fermeture éclair n'est pas très bien cousue, sur l'envers c'est un sacré bordel, il y a des petits plis sur l'ourlet), mais elle rend plutôt pas mal. Et surtout, elle est FINIE ! 



Ce que j'ai trouvé facile :
- Le patron. Plus simple, tu meurs, même si j'ai calculé trop large pour la taille. Mais en même temps, mieux vaut que ce soit trop large que trop petit : c'est plus simple à rattraper. Prévoir quand même une grande table pour couper le tissu bien à plat.
- Coudre les kilomètres d'ourlet. Parce que là on se sent trop couturière, avec la machine qui fait tacatacata et le tissu qui file sous les doigts !
- Ajuster la jupe à ma taille et à la longueur voulue. Elle tombe comme je l'imaginais !

Là où j'ai bien galéré :
- La fermeture éclair. Comme c'est un patron sans panneaux à assembler, je n'avais pas le repère habituel des deux morceaux assemblés. Du coup, j'ai coupé le tissu et créé une couture. Et j'ai monté la fermeture avant la ceinture.
- La ceinture. J'ai été bien aidée par l'entoilage thermocallant perforé (qui donne cependant une assez petite ceinture), mais ce sont les finitions pour raccorder la ceinture à la fermeture éclair qui m'ont posé le plus de problèmes.
- Le tissu lui-même : il est beau certes, pas cher certes, mais il s'effiloche énormément (impossible du coup d'utiliser le ciseau-cranteur) et il s'abîme au moindre accroc. Je pense que c'est une jupe que je laverai donc plutôt à la main.

Moralité :
La plus grande difficulté c'est d'affronter la difficulté. Après avoir vaincu mon angoisse des canettes, j'ai triomphé du combo ceinture + fermeture éclair + ourlet. Et ça donne envie de s'y remettre tout de suite ! Ce ne sont pas les idées qui manquent (notamment grâce aux nombreux patrons et livres qu'on m'a offerts à mon anniversaire), mais je n'ai pas de tissu. La bonne excuse pour partir en chasse quoi...




mercredi 16 janvier 2013

Et si...

Et si j'ajoutais à ce blog ma troisième passion ?
C'est en découvrant l'article d'aujourd'hui chez Jeannette que j'en ai eu envie. Et aussi lundi en tombant sur ce blog consacré au Canada où j'y ai passé 9 mois.
Parce qu'avant de me mettre sérieusement à la couture, mon passetemps favori était la photographie. Il l'est toujours, même si j'ai du mal à me dégager du temps pour le pratiquer. Mais aimer la photographie ce n'est pas seulement en faire, c'est aussi la découvrir et pourquoi pas, la faire découvrir. J'ai un site qui est consacré à mes modestes travaux, mais je ne pensais pas le conserver, car je ne le mets pas à jour et mon activité photographique n'est pas débordante au point de devoir avoir un site qui lui soit entièrement dédié.

Alors je pense qu'au fuseau et à la plume, je vais ajouter l'oeil. Catherine des Roches ne m'en voudra pas trop je pense : du fond de son XVIème siècle poitevin, elle ne savait pas ce que c'était... Cela me permettra d'ailleurs d'être beaucoup plus régulière dans mes publications !

En ces jours de neige, un de mes clichés. La qualité n'est pas extra car il s'agit d'un scan d'un tirage argentique fait en labo (ça, c'est vraiment quelque chose qui me manque également !). Cette photo a d'ailleurs servi de photo de couverture pour le recueil de poème d'Ariane Bessette, Avant l'oubli.


(Et non, non, je n'oublie pas la jupe cercle ! Il ne reste plus que l'ourlet à faire. Je prends le temps de la finir dans la journée, donc il y aura article et photos en fin de semaine ).



dimanche 13 janvier 2013

Les jolies choses : du cuir !

Cette semaine, envie de cuir ! Je ne sais pas du tout comment c'est de travailler cette matière, mais j'aime le cuir. Le doux, le fin, le souple, celui qui sent. Le web et ses talents regorgent d'idées et j'en ai retenu trois qui me paraissent faisables. Enfin, quand j'aurais réussi à triompher de ma jupe cercle...

Une jupe chez Un Carnet sans pages


Un top chez L'Atelier 13


Un collier chez Jolies bobines




Bon dimanche !



jeudi 10 janvier 2013

Help pour le magazine Paulette !

Je suis Paulette depuis son numéro 2. L'idée d'un magazine féminin différent de ce que propose la presse traditionnelle ne pouvait que me séduire. Il y a Causette, certes, mais Paulette, c'est le versant dressing, boîte à bijoux et petits papiers de ce magazine féminin et féministe désormais connu et reconnu. Même si je ne me retrouve pas toujours dans les codes un peu hipsters du magazine (les lunettes en coeur, la moustache), j'avoue que j'y trouve souvent plus d'idées, même culturelles, que dans les féminins traditionnels et le côté bricolage-création-DIY me plaît beaucoup (voilà le petit lien avec la couture que vous attendiez!). J'avais d'ailleurs écrit un tout petit article sur Paulette pour les Fauteuses (clic clic !).

Si je vous parle de Paulette aujourd'hui c'est parce que l'équipe du magazine tente la sortie en kiosque et ont besoin d'un coup de pouce. Elle a donc lancé un appel pour leur projet sur My Major Company pour essayer de récolter les 25 000 euros nécessaires pour faire naître Paulette chez votre marchand de journaux aux côtés de Biba, Cosmo et Elle. On peut donner à partir d'1€ et la participation (à partir de 10€) donne droit à des cadeaux. Si la somme n'est pas atteinte, le don est remboursé. J'ai participé avec mes petits moyens de fauchée d'après les fêtes, parce que c'est une belle initiative.



Si vous avez envie de découvrir Paulette, c'est par ICI. En ce moment, le téléchargement du dernier numéro est gratuit !

Et pour participer au Hold-Up qui propulsera le magazine dans les kiosques, c'est . Il reste 15 jours et 6000 euros à collecter !


dimanche 6 janvier 2013

Les jolies choses : des robes Deer and Doe

J'inaugure une nouvelle petite rubrique : un article hebdomadaire qui recense les trouvailles coup de coeur de la semaine en matière de couture et de création.

Pour le premier article de cette suite et pour la première semaine de l'année, j'ai choisi des robes d'après des patrons Deer and Doe !

Interprétations des robes Sureau et Belladone de Deer and Doe

La robe Sureau





La robe Belladone





Nulle doute qu'un de ces jours j'essaierai de donner moi aussi mon interprétation tant ces modèles me plaisent !

vendredi 4 janvier 2013

Ma première poupée

Quand je dis la première poupée, c'est vraiment la première. C'est celle que j'ai faite il y a... environ 20 ans peut-être ? A la main, rembourrée avec du coton, en pièces détachées et disproportionnée. On dirait un dessin d'enfant mais en couture ! Je ne sais pas comment elle a échappé aux tris multiples, mais quoiqu'il en soit elle est bien là, vestige de mes travaux de petite couturière. Échappée également de cette époque, la boîte à couture Singer qui allait avec une petite machine pour enfant qu'on m'avait offerte et qui m'a suivie jusqu'à maintenant.



Elle est un peu flippante mais souriante !


mercredi 2 janvier 2013

Les vêtements dans les contes de fées

On peut lire sur lemonde.fr, un article intéressant de Sophie Chassat, riche et bien écrit, sur le rôle et la portée des vêtements dans les contes de fées : on pense à Peau d'Âne bien sûr, mais l'auteur évoque également les bottes de sept lieues du Chat Botté, la robe de Cendrillon, la ceinture du Vaillant petit tailleur et la nudité des Habits neufs de l'empereur !

Peau d'Âne illustré par Charlotte Gastaut pour le Père Castor

A lire ici : clic clic !